Le Web3 avait déjà mis les pieds dans les crampons. Maintenant, il enfile les bottes en cuir et passe les portes de l’hippodrome.
Mais ici, pas question de parier sur un cheval au pif, en espérant que "le 5" passe la ligne en premier. Jockiz, c’est un jeu de fantasy sports où les stars ne sont plus les chevaux, mais bien ceux qui les montent. Les jockeys. Les humains.
Et franchement, ça change tout.

Si vous n’avez jamais hurlé un dimanche après-midi devant un PMU à cause d’un cheval sorti trop large au dernier virage, vous êtes peut-être passé à côté d’un pan entier de la culture populaire française. L’hippisme, c’était la France d’avant. Celle qui pariait au café, entre Ricard et clope roulée. Sauf qu’en 2025, les jockeys ont des NFT, Tony Parker monte des écuries, et les jeunes redécouvrent le turf via leur téléphone.

Jockiz n’est pas là pour sauver un sport, il est là pour lui coller un électrochoc. Rajeunir les parieurs, remettre les jockeys au centre du jeu, et jouer à chaque course comme on compose son cinq majeur. Ce n’est pas un gadget, ni une mission. Et si les chiffres sont encore modestes, la vision est claire : réveiller une légende, la faire courir dans un monde où tout se joue entre algos, XP et storytelling.

La vraie force de Jockiz ? Miser sur l’humain. Ce ne sont pas des chevaux qu’on collectionne, mais les athlètes qui les montent.

Un choix payant :

Résultat : plus de 500 pros sous contrat, une immersion directe dans les paddocks, et une narration humaine qui fait la différence.

Le public suit. 38 000 inscrits, des milliers de cartes déjà vendues, et un taux de rétention "incroyable" selon le CEO. Jockiz séduit autant les turfistes nostalgiques que les gamers de 38 ans qui veulent faire fructifier leur flair.

Ce n’est pas qu’un jeu. C’est un manifeste pour moderniser un sport centenaire sans trahir ses racines.
Dans leur roadmap
- une version en Asie,
- un passage à l’échelle sur l’UX,
— Et une ouverture progressive à de nouvelles disciplines.

Le tout sans bullshit métaverse : des NFT oui, mais une interface simple, des euros pour payer, et du réel dans chaque galop.

Au-delà du jeu, Jockiz vise à dépoussiérer tout un univers.
🎯 Moderniser l’image des courses,
🧲 Attirer une nouvelle génération,
💰 Offrir un revenu supplémentaire aux pros,
🌍 Et pourquoi pas, devenir le Sorare hippique qui marche.

Et pour une fois, ce n’est pas un rêve de crypto-bro en quête de yield.
C’est une boîte qui reverse à ses jockeys, qui a signé avec France Galop et Le Trot, et qui met les mains dans le cambouis. Pas juste du marketing. Du concret.

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👉 Guide pour bien débuter : guide.jockiz.com

Dayan